http://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~parisse/#hpgeo
|
|
ON
). Les
fonctions principales
(modes non shifté, shifté gauche, shifté droit, alpha)
sont affichées en couleurs sur chaque touche.
On peut bloquer le mode alpha en tapant 2 fois
sur la touche alpha (on débloque alors en tapant une nouvelle
fois sur alpha).
En mode alphabétique, les caractères sont en majuscule, sauf
si on tape sur shift avant un caractère. On peut bloquer en mode
miniscule si on est en mode
alphabétique en tapant sur la touche shift puis la touche alpha.
On peut saisir des caractères non présents au clavier en tapant
sur la touche CHARS
(shift droit-EVAL
).
Par exemple, pour éteindre la calculatrice,
taper la touche shift droit puis la touche ON
.
ON
. Si
cela ne fonctionne pas, taper simultanément sur ON
et
F3
, ou enfoncer un objet pointu, trombone par exemple,
dans le trou reset situé à l'arrière.
ON
).
On tape le calcul dans une ligne
séparée appelée ligne de commande. Taper ENTER
pour exécuter la ligne de commande. Les paires
de question/réponse s'affichent dans l'historique. On peut
recopier un niveau de l'historique
puis le modifier (touches HIST
et flèches haut et bas).
La saisie d'expressions peut se faire avec l'éditeur d'équation
(touche EQW
). Pour effacer des niveaux de
l'historique utilisez la touche HIST
puis la touche
d'effacement, pour effacer tout l'historique, utilisez shift droit
puis la touche d'effacement (CLEAR
).
F1
à F6
.
On peut changer le menu courant par des touches du clavier, par exemple
la touche TOOL
affiche le menu courant de l'application,
ALGB
affiche le menu algèbre, etc..
Utiliser les touches NXT
et PREV
pour passer à la page suivante/précédente du menu.
CAT
)
et d'une aide en ligne pour les commandes du CAS (TOOL NXT F2
)
décrivant brièvement la commande, avec un exemple et des
liens vers les commandes proches.
R/C
pour réel ou complexe,
=/~
pour mode
exact ou approché, RAD/DEG
pour l'angle).
Pour changer de mode, utiliser la touche MODE
, puis choisissez
le menu CAS
(touche F3
)
pour changer les parties spécifiques au calcul formel.
Il existe des raccourcis pour les changements de mode fréquents :
ENTER
(touche
->NUM
).
TOOL
(touche i
)
EXPAND
ou FACTOR
,
essayez aussi de les saisir au clavier.
#
.
Ils peuvent être saisis en base 10 (suffixe d
)
ou 16 (suffixe h
). Ils sont surtout utiles en programmation.
E
(touche EEX
). Le séparateur décimal
est par défaut .
.0.12E7
qui représente le nombre approché 1 million
200 mille, a pour mantisse m1=1, m2=2, m3=...=mk=0 et pour exposant 7.
Les HP disposent de deux représentation de flottants,
qui diffèrent par la valeur de k, celui qui a la plus grande
valeur de k est utilisé en
interne pour améliorer la précision des calculs intermédiaires.
|
|
Description | Fonction | Exemple | Résultat |
Affectation | STO |
1 STO> A |
1 |
Suppression | PURGE |
PURGE(A) |
NOVAL |
Hypothèse | ASSUME |
ASSUME(A>1) |
A≥ 1 |
FILES
).'
(quote)
ou la fonction QUOTE
, on peut forcer une évaluation avec
l'instruction EVAL
.
L'évaluation d'une variable non affectée peut être modifiée en faisant
une hypothèse (par exemple ASSUME(A>=0)
permet
de simplifier √A2 en A
), ou en déclarant
la variable comme réelle en mode complexe (la liste des variables
supposées réelles
est contenue dans la variable REALASSUME
du répertoire
CASDIR
(utiliser shift-FILES
puis EDIT
du bandeau pour modifier la liste REALASSUME
).Types | Exemple | Remarques |
Entier | 1 | |
Réel | 0.12E7 |
ou 1200000. |
Complexe exact | 1+2*i | |
Complexe approché | (1.2,2.3) | |
Variable | M |
|
Expression | 1+2*SIN(X) STO> EQ |
OBJ>(EQ)
décompose EQ |
Liste | \{ 1, 2 \} STO> L |
L[1]
1ier élément de la liste L |
Vecteur | [1, 2] STO> V |
V[1] 1ier élément du vecteur V |
Matrice | [[1,2],[3,4]] STO> M |
GET(M,{2,1})
(ou M[3] ) ligne 2 colonne 1 |
Chaine | "Bonjour" |
<< >>
), etc. SYMB
(menu principal) ou de des touches
de menu spécialisé ALG
(algèbre, par exemple pour
factoriser et développer), CALC
(calculus, pour calculer
une limite, faire un développement de Taylor, etc.), S.SLV
(résoudre exactement une équation), EXP & LN
et TRIG
(réécriture), ARIT
(arithmétique).
L'aide en ligne donne la syntaxe de la commande, avec un exemple
(touche TOOL
puis NXT
puis F2 (HELP
) puis tapez
la touche alpha et la première lettre de la commande, puis les
touches de direction pour sélectionner une commande).
Nous ne donnons ici que les principales commandes,
le guide de référence du calcul formel de la HP49 est téléchargeable
surhttp://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~parisse/degraeve/louijean.pdf
MODE
, configuration CAS
,
cocher Step/Step
), l'algorithme de la potence
(division euclidienne),
les opérations de l'algorithme d'Euclide et
l'algorithme de Bézout sont affichées étape après étape.MODULO
(touche MODE
, configuration du CAS
) puis d'appeler
les mêmes instructions avec le préfixe MOD
.ALGB
, EXP&LN
, TRIG
) :TRIG
, TRIGSIN
, TRIGCOS
,
TRIGTAN
: simplifie
une expression trigonométrique en utilisant la relation
sin2+cos2=1. Favorise la réécriture en terme de sin,
cos ou tan.
HALFTAN
: remplace les expressions trigonométriques
en fonction de la tangente de l'arc moitié.
TAN2SC2
et
TAN2CS2
effectue l'opération inverse, alors que TAN2SC
remplace tangente par sinus sur cosinus.
DERVX
et INTVX
.
DIVPC
) permet de faire
pas à pas des développemets de Taylor.
[]
, séparateur ,
).
Les opérations arithmétique + - * ^ NEG INV
s'appliquent
aussi aux matrices. Attention à l'usage ambigu de /
, car le produit
de matrice n'est pas commutatif.
rref
(en minuscules)
n'effectue pas de division par les pivots et renvoie la liste
des pivots, ce qui permet de traiter les cas particuliers
de systèmes linéaires lorsqu'il y a des paramètres sans utiliser
le déterminant. De plus rref
, RREF
et INV
affichent les étapes intermédiaires du pivot de Gauss en mode pas à
pas lorsque la matrice est à coefficients exacts.RANM({4,4}) STO> M
TRAN(M)+M STO> M
(pour graphe non orienté)MAP(M,X MOD 2) STO> M
GET(M^4,{1,2})
donne le nombre
de chaines de longueur 4 reliant le sommet 1 au sommet 2,
TRACE(M^5)
donne le nombre de cycles de longueur 5.[[.7,.2,.1],[.6,.1,.3].[.0,.5,.5]] STO> P
[.1,.5,.4] STO> V
TRAN(P)*V STO> V
V
vers
[.5,.25..25]
, qui est vecteur propre de la transposée de P
EGV(TRAN(P))
correspondant à la valeur propre 1 de module
maximal. On peut aussi calculer Pn pour n assez grand, par
exemple P^20
.ZEROS
ou SOLVE
est donc d'abord factorisé sur Z, puis les racines
des facteurs de degré 1 et 2 sont calculées (en fonction
du mode complexe). S'il reste des facteurs de degré 3 ou plus,
la recherche s'arrête, sauf si on est en mode approché ou si on a coché
Num factorize (touche MODE
, FLAGS
, fléche vers le haut
jusqu'au numéro 109, puis OK
deux fois).
Indépendamment du mode, la recherche numérique des racines
complexes d'un polynome se fait avec PROOT
.
La fonction inverse est PCOEF
.Exemple | Mode | Résultat |
ZEROS(X^3-8,X) |
Réel | 2 |
ZEROS(X^3-8,X) |
Complexe | { −21−i√3/2, −21+i√3/2,2 } |
ZEROS(X^3+X+1,X) |
Réel | {} |
ZEROS(X^3+X+1,X) |
Réel, num factorize | {-.68...} |
ZEROS(X^3+X+1,X) |
Complexe, num factorize | {(.34,-1.16),(.34,1.16),-.68} |
PROOT([1,0,1,1]) |
Indifférent | [(.34,-1.16),(.34,1.16),-.68] |
SOLVE
,
attention au choix du mode réel/complexe et factorisation numérique).
LINSOLVE
), et plus généralement
des systèmes simples d'équations polynomiales par base de Groebner
(fonction SOLVE
, on peut aussi afficher la base
de Groebner par GBASIS
, et réduire un polynôme par rapport à une
base de Groebner d'un idéal par GREDUCE
).
DESOLVE
ou LDEC
pour
les équations linéaires à coefficients constants, ce dernier
permet aussi de résoudre les systèmes différentiels
linéaires à coefficients constants.
ROOT
sur les HP49, on peut accéder au menu solveur
numérique en shiftant la touche 7. N'oubliez pas de purger la variable
aprés utilisation.
MSLV
sur HP)
RKF, RKFERR, RKFSTEP
, il est plus simple
d'utiliser l'application de représentation graphique)
{ }
pour délimiter une liste avec comme
séparateur ,
.
{}
désigne la liste vide et {1, 2, 3}
est une liste de 3 éléments, +
concatène
deux listes, par exemple :
{1,2,3,4}
.TAB
.+
concatène deux listes même si elles ont la
même longueur, c'est la commande ADD) qui permet d'ajouter
deux listes terme à terme.
SIZE
.
On obtient le P-ième élément de L (où P
est compris entre 1 et la taille de la liste) en tapant :
SORT(L)
trie une liste L
de valeurs numériques
par ordre croissant, REVLIST(L)
renverse l'ordre de L
,
SUB(L,2,4)
extrait les termes d'ordre 2 à 4, ...
"
. Quelques fonctions :
1.1, 12, 1+2i, (0.5,2.3), 1/2, x, x*sin(x)-x, [1,2]
,TYPE
∫ |
|
dx, | ∫ |
|
ln(ln | (x)) dx, | ∫ | (2x2+1)ex2 dx, | ∫xsin(x)ex dx |
∫ |
|
|
, | ∫ |
|
|
dx |
|
k, |
|
k2, |
|
|
ln(1+x+x2), |
|
, √ |
|
, |
|
⎧ ⎨ ⎩ |
|
rref
sur la matrice
augmentée, soit la formule A−1 b.
F4
(2D/3D)
puis choisir le type parmi (Function, Parametric, Polar, Diffeq,
Slopefield (champ des tangentes), Fast3D),
puis donner l'expression à tracer en fonction de la variable
indépendante et d'éventuelles informations complémentaires en fonction
du type de tracé (pour tracer plusieurs graphes, entrer une liste).
EQ
. On peut le faire depuis
l'historique ou en tapant sur shift-gauche puis F1
(Y=) :
X
à exprimer l'abscisse et l'ordonnée en fonction de X
,
F2
(WIN)
puis régler H-Win et W-Win.
AUTO
(autoscale) qui calculera W-Win
(s'il n'y a pas de pole de la fonction dans l'intervalle).
F6
(on efface souvent l'écran graphique au préalable
par F5
).
FUNC
pour trouver une racine numérique
de f(x)=0, afficher la tangente au graphe, calculer l'aire sous la
courbe entre deux points,...EDIT
(l'objet graphique affiché
est sauvegardé dans la variable PICT
)
F5
pour régler la valeur initiale
de X et la valeur du saut, puis shift gauche F6
pour
afficher le tableau, les flèches vers le haut et vers le bas
permettent de changer la valeur initiale.
EQ
une liste
d'expressions.
Par exemple, pour tracer plusieurs courbes dépendant d'un paramétre,
on peut utiliser dans l'historique la commande SUBST
, ainsiSUBST(A*SIN(X),A={1,2,3}) STO> EQ
DERIV
et SOLVE
pour rechercher les
extremums, pour
une fonction de plusieurs variables, on utilisera
DERIV
(qui calcule le gradient, qui est normal au plan
tangent en un point de la surface en 3-d), HESS
, GAUSS
(qui donne la signature de la forme quadratique en un point critique).
PLOTADD
(on peut aussi utiliser les
commandes de type de tracé FUNCTION
, PARAMETRIC
, ...
et l'affectation de EQ
).
(1+t)n= |
|
= |
|
FINANCE
. Remplir les champs sauf celui
cherché et taper sur le menu SOLVE
. Par exemple
pour un emprunt de 10000 euros à 3% sur 5 ans, on remplira 60
mensualités (N
), le taux à droite, puis -10000 pour
PV
, 0 pour FV
, on déplace le curseur sur FMT
et on tape sur SOLVE
.STO>
.www.hpcalc.org
).SDEV
et VAR
s'appliquent à un échantillon
et non à une population (PSDEV
et PVAR
),
on divise la somme des carrés des
écarts à la moyenne par n−1 où n est l'effectif.
AXL(TRAN(
ΣDAT)) STO> L
L
(donc
la première colonne de la matrice statistiques), on obtient alors
le premier quartile (par exemple) en tapant
L1[SIZE(L1)/4]
L1[SIZE(L1)/2]
WIN
,
horizontalement les valeurs extremes prises par la série
statistique,
verticalement entre 0 et l'effectif maximal d'une classe,
ainsi que la largeur d'une classe (dans l'exemple
ci-dessus, on pourrait par exemple prendre H-View entre 0 et 20,
V-View entre 0 et 5 et Bar Width 3).DAT
.
On peut effectuer le calcul de la corrélation, de la covariance,
des régressions
de divers types (linéaire,
exponentielle, logarithmique, puissance). Comme ci-dessus, on utilise
l'application statistiques (shift-5 puis Fit) ou on tape directement les
commandes dans l'historique. Par exemple si on a entré dans
ΣDAT
STATL
du bandeau.RAND
renvoie un nombre pseudo-aléatoire
compris entre 0 et 1, distribué selon la loi uniforme et que
RDZ(R)
initialise le générateur aléatoire (R
est un nombre réel, si R
est nul,
l'horloge système est utilisée).UTPC
, UTPF
, UTPN
, UTPT
renvoient la probabilité qu'une variable aléatoire
soit supérieure à leur dernier argument
si la variable aléatoire suit respectivement
la loi du Chi 2, de Snedecor F,
la loi normale ou la loi de
Student. Les premiers arguments de ces fonctions
sont respectivement nombre de degrés de liberté,
nombre de degrés de liberté au numérateur et au dénominateur,
moyenne et variance, nombre de degrés de liberté.
Ces fonctions (et leurs inverses) sont utilisés en particulier
pour les statistiques inférentielles (cf. infra).SDEV
sur la 49).
On cherche ensuite la distance C telle que
la probabilité que |m−μ|>Cσ soit de 5%. Comme la loi de X est
la loi normale, cela revient à calculer pour quelle valeur de C
on a l'équation
( | ∫ |
|
+ | ∫ |
|
) e |
|
= 0.05 | ∫ |
|
e |
|
UTPN
de la HP
UTPN(m,v,x)= |
|
∫ |
|
exp(− |
|
) dt |
T= |
|
S(n,x)= |
|
(1+ |
|
) |
|
, où Γ(x)=(x−1)! |
UTPT
sur HP49).UTPT
, dont le permier argument est le nombre de degré de liberté et
le deuxième x, par exemple pour résoudre UTPT
(n−1,x)=0.025
pour n=8 on tape
ROOT('UTPT(7,X)-0.025',X,0.0)
10.008,10.012,9.990,9.998,9.995,10.001,9.996,9.989,10.000,10.015
Z2= |
|
|
(Xk−μ)2 |
UTPC
, qui donne la probabilité qu'une variable
aléatoire suivant la loi du χ2 à n degrés de liberté
soit plus grande que le 2ème argument de UTPC
.UTPC
(10,a). On
dira qu'on a un intervalle de confiance à 5% sur σ si
UTPC
(10,a) du a correspondant
est compris entre 0.975 et 0.025.
On cherche donc les valeurs de σ qui correspondent à un UTPC
de
0.975 et 0.025.
On calcule a1 et a2 par exemple avec la fonction de recherche
numérique de solutions de la calculatrice.
On en déduit les valeurs σ1 et σ2
de l'intervalle de confiance à 5% de σ.APPS
puis Spreadsheet
.C2
.
ENTER
, la formule ou la valeur est alors
affichée mais le tableur n'est pas recalculé automatiquement.
Pour le recalculer une fois, on tape sur shift-EQW
(MTRW
). On peut passer en mode de recalcul automatique
en tapant sur le menu EVAL
du bandeau
(TOOL NXT NXT NTX F2
).
SIGMA
dont le premier argument
est une plage de cellules et le deuxième argument soit un entier
(0 pour la somme, 1 pour la moyenne, 2 pour la variance), soit
un test (par exemple X==2
pour compter le nombre de 2 d'une
plage).A1
à
B2
en C1
, on se place en C1
, on tape
TOOL NXT
jusqu'à ce que mean
apparaisse, on tape
sur F4 (mean)
, il apparait 'SIGMA(,1)'
,
on déplace le curseur avant la virgule et on saisit A1.B2
.SIGMA
, veillez a bien encadrer votre formule
par des signes '
(qui n'y sont plus). Le deuxième paramètre
de SIGMA
peut être 1 pour la moyenne, 2 pour l'écart-type
(population), 0 pour la somme.
STO
. Pour charger une feuille de calcul, appuyez sur
shift gauche-STO
(RCL
). Pour envoyer une feuille vers
l'application statistiques, taper sur shift gauche-5 (STATS), vers
le graphique (histogramme), taper sur shift droit-5.
DEFINE F(X)=1/2*(1+2/X)
APPS
, puis Spreadsheet
.
On met la valeur initiale u1=2 dans la
cellule A1
, puis on définit A2
par la formule de
récurrence F(A1)
, on sélectionne la cellule
avec shift droit-BEGIN, shift droit-END, shift droit-COPY, et on la recopie
sur quelques cellules vers le bas.
Si on remplace A1
par 2.0
, on obtient des valeurs
approchées.DEFINE F(X)=1/2*(1+2/X)
DEFINE(U(N)=IFTE(N>1,F(U(N-1)),2)
2
par 2.0
ci-dessus), mais parfois
les deux calculs sont intéressants.
plot
.
Par exemple ici, on tape APPS
puis Geometrie
,
puis Fich->Nouveau
, puis Ajouter->Courbe->plot
,
puis on trace le graphe de la fonction f plot(1/2*(1+2/X))
,
puis à nouveau Ajouter->Courbe->plot
, et on trace
les trois premiers termes de la suite plot({1/2*(1+2/X),2.0,3})
.un+1=un− |
|
http://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~degraeve/grouge.ltx
;
. On peut aussi
saisir une ligne commençant par @ et se terminant par un
passage à la ligne ou une chaine entourée de deux @.
(le caractère @ est
obtenu en tapant shift-rouge ENTER)
mais le compilateur efface les commentaires... donc pour garder ce type
commentaires, il faut écrire votre programme sous la forme d'un texte qu'il
faut ensuite compiler avec STR→ ce qui complique un peu...<< >>
.DISP
.
Ainsi ==
pour traduire la condition d'égalité) :
IEGCD
, écrit en langage HP49.
Le principe consiste à calculer des égalités
;
il faut taper simultanément sur
shift droit et ,
.
{1,0,L1} STO> L1;
{0,1,L2} STO> L2;
0 → L3 ≪
WHILE L2[3]≠0 REPEAT
L1-IQUOT(L1[3],L2[3])*L2 STO> L3;
L2 STO> L1;
L3 STO> L2;
END;
L1
≫BEZOUT(7,5)
.<< -> S <<
{} -> L <<
FOR(I,1,SIZE(S)) L+NUM(SUB(S,I,I)) STO> L NEXT;
L >>
>>
>> STO> ASCII
ASCII("Bonjour")
.ICHINREM
).
|
|
http://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~parisse/#hpgeo
TOOL
(pour i
).http://raphaello.univ-fcomte.fr/IG/Algorithme/Algorithmique.htm
A:A:
pour un objet nommé A
et
affiché A
, ou ::A
pour un objet nommé A
mais sans légende à l'écran.
L'application peut utiliser des coordonnées exactes, et on a accès
depuis l'historique à toutes les informations analytiques sur tous
les objets construits
(on passe en argument d'une commande les
noms de variables des objets géométriques,
par exemple abscisse(A)
).
On peut également tracer des objets non géométriques, par
exemple une courbe représentative, une tangente à un point, etc.
On peut définir des objets géométriques à l'aide
de fonctions (définies dans l'historique comme une fonction normale).APPS
, puis Géométrie.
F6
(Config) et sélectionnez Francais
(si c'est English
qui apparait, tapez sur la touche ON
pour annuler)
F6
(Config)
puis en sélectionnant Enlever axes
F1
(Fich.) puis choisissez Nouveau
,
donnez un nom de variable pour votre construction, par exemple
CIRCON
F2
(Ajouter) puis choisissez Points
puis aleatoire
,
donnez alors 3 noms de points, par exemple
A B C
(le clavier est en mode alphabétique).
Vous avez construit 3 points aléaoires.
F2
(Ajouter) puis choisissez Lignes
puis mediatrice
,
vous voyez apparaitre
mediatrice()
mediatrice(A,B)
ENTER
, donnez ensuite
le label de la médiatrice (c'est le nom qui apparaitra à l'écran) et
le nom de variable de la médiatrice, par exemple :c:c
.
Vous pouvez aussi ne pas afficher de label pour la médiatrice
en tapant ::c
. Par contre vous devez toujours donner un nom
de variable à la médiatrice.
b
des points A
et
C
et la médiatrice a
des points B
et C
.
F2
, sélectionnez Points
puis inter
, indiquez en argument les noms de variable
des deux médiatrices, par exemple a
et b
, donnez
un label et un nom de variable pour le point d'intersection,
par exemple :O:O
.
F2
, puis Courbes
, puis cercle
,
donnez en argument le centre O
et l'un des 3 points, par
exemple A
, donnez un nom de label et de variable au cercle
par exemple :S:S
. Notez qu'on pouvait construire directement
un cercle circonscrit à partir de 3 points (en choisissant
circonscrit
au lieu de cercle
).
F1
puis Sauver
pour sauver
la figure CIRCON
F4
(Déplacer), sélectionnez
A
, B
ou C
et faites bouger le point avec
les flèches (vous pouvez précéder les flèches par
les touches shift pour déplacer plus rapidement ou alpha moins
rapidement).
Tapez sur Ok
pour accepter la nouvelle position ou sur Annul
pour
annuler le déplacement.
F1
puis Quitter
.
affixe(A)
,
rayon(S)
directement au clavier (taper deux fois sur alpha puis sur
la touche shift gauche puis sur alpha pour bloquer le clavier
en mode alphabétique minuscule, taper à nouveau sur
shift gauche alpha pour revenir en mode majuscule),
ou en utilisant le menu Mesures.
F1
et charger
CIRCON
.
Edit figure
,
soit en dehors de l'application de géométrie
en éditant la variable CIRCON
. Dans les deux cas,
vous éditez une liste d'objets
géométriques, chaque objet géométrique étant constitué
d'une formule de calcul et d'un label/nom de variable.
APPS
puis 12.Geometry
. Si l'historique est vide,
l'application interactive démarre et ouvre la figure
FIGURE
si elle existe. Sinon, si
le dernier niveau de l'historique contient :
0
point
FIGURE
si elle existe.
GEO('arg')
pour lancer
l'application interactive sur la figure de nom arg
.
Attention aux '
, si vous tapez GEO(arg)
,
vous obtiendriez une liste avec le graphique de la figure et le temps
d'évaluation. On peut enfin taper GEO(0)
pour
afficher le menu de géométrie dans l'historique
sans lancer l'application, point
: tapez les deux coordonnées du point, puis ENTER.
On vous demande ensuite le nom de label et le nom de variable du point (le
nom de label n'est pas obligatoire ce qui permet de ne pas encombrer la
figure). Notez que si vous utilisez
des coordonnées formelles (par exemple point(a,b)
où a
et b
n'ont pas de valeur numérique), il faut déclarer
ces variables comme réelles si le mode variables
réelles n'est pas sélectionné en positionnant le flag système 128
(touche MODE, puis FLAGS).
milieu
:
tapez les deux noms de variables des deux points pour
avoir le milieu du segment défini par ces points.barycentre
est un alias de milieu
qui peut être utilisé depuis le menu commande
(cf. 10.4.8) pour calculer un barycentre.
centre
:
tapez le nom de variable d'un cercle pour avoir son
centre. Son alias sommets
peut aussi être utilisé depuis le menu commande (cf. 10.4.8) pour
obtenir les sommets d'un polygone.
inter
:
intersection de 2 objets géométriques. L'intersection
de 2 droites renvoie un point ou undef si les droites sont
parallèles, l'intersection de 2 cercles ou d'une droite et
d'un cercle renvoie une liste de 2 points (s'ils ne sont pas sécants
les 2 points valent undef, s'ils sont tangents, le point de
tangence est répété). Les autres intersections renvoient une
liste de points dont le nombre est variable. Attention, pour
les intersections de 2 courbes paramétriques, l'un des paramétrages
doit être rationnel exact pour pouvoir extraire son équation
cartésienne par calcul de résultant.
element
:
permet de créer un point sur une droite, un cercle
ou une courbe en tapant le nom de la courbe et une valeur du paramètre.
zxpnt
:
permet de créer un point étant donné son affixe
segment
:
défini par deux points ou par deux nombres complexes
droite
: comme segment
parallele
et
tangent
:
trace la parallèle en un point à une
droite donnée ou la tangente en un point à une courbe donnée
perpendiculaire
:
trace la perpendiculaire en un point à une droite
donnée (cf. aussi hauteur)
mediatrice
: médiatrice de deux points
mediane
:
médiane issue du premier point, le joignant au milieu
des deuxième et troisième points.
bissectrice
:
bissectrice issue du premier point
du triangle formé par les 3 points
hauteur
: hauteur issue du premier point
du triangle formé par les 3 points
eqxpnt
:
crée une droite ou un cercle donné par son
équation cartésienne en fonction des variables X et Y
cercle
: crée un cercle donné par son centre (point ou
nombre complexe) et son rayon (réel)
ou par son centre et un point du cercle (deux points)
cercle
avec comme arguments la liste des 3 points
et 0 (cf 10.4.8).
cercle
avec comme arguments la liste des 3 points
et 1 (cf 10.4.8).plot
: trace le graphe d'une expression donnée en fonction de X.
Attention, l'argument est une expression et non une fonction. Par exempleplot(cos(X))
.plot({cos(X),0.1,7})
abscisse(G)
où on remplace
G
par le nom de variable donné au tracé, chaque
valeur est répétée deux fois
(on peut aussi utiliser le tableur et programmer la suite).
paramplot
: trace le graphe d'une courbe paramétrée donnée
par les deux expressions X(t) et Y(t). Attention les arguments
sont des expressions et non des fonctions. Notez que X(t) et Y(t)
peuvent être des nombres complexes, c'est le point d'affixe
X(t)+iY(t) qui sera tracé, on peut donc tracer une courbe
paramétrique donné par une expression complexe Z(t) en donnant Z(t)
comme premier argument et 0 comme 2ème argument. On peut aussi
représenter Z(t) lorsque Z(t) est un objet géométrique de type point
ou de type droite (dans ce cas c'est l'enveloppe des droites qui
est représentée).paramplot(COS(2*t),COS(3*t))
paramplot(EXP(i*t),0)
paramplot(eqxpnt(X*SIN(t)+Y*COS(t)-1),0)
lieu
: lieu d'un point ou enveloppe de droites. On donne
en argument un point sur une droite, un cercle et une courbe
(construit avecla commande element
), puis
un point ou une droite dépendant de ce premier point. Le système
calcule l'équation paramétrique des points dépendants ou de
l'enveloppe de la droite dépendante et trace le graphe correspondant,
le réglage des valeurs pris par le paramètre (mini, maxi, pas)
pour les tracés paramétriques influe donc sur le tracé obtenu et
le temps de calcul d'un lieu demande un peu de patience.lieu
depuis
l'historique ou dans une commande,
notez qu'elle prend 3 arguments, le nom de variable de la figure complète,
le nom du point sur la courbe et le nom du point dépendant.
triangle
: crée un triangle donné par 3 points.
triangle
avec 2 points et l'angle
au sommet.
triangle
avec 2 points
et π/3 comme 3ème argument.
quadrilatere
:
crée un quadrilatère donné par 4 points.
quadrilatere
avec 3 points et 0 comme 4ème argument,
ou encorequadrilatere
avec 2
points (par exemple A,B), un angle (par exemple t) et un nombre réel
(par exemple k) pour avoir le parallélogramme ABCD tel que
(AB,AD)=t et AD=k*AB.
Dans ce cas le 3ième et le 4ième point n'ont pas de nom non,
il faudra executer une commande sommets pour leur donner un nom
quadrilatere
avec 2 points, π/2 comme 3ème
argument et 1 comme 4ème argument, mais dans ce cas le 3ieme et 4ieme point
n'ont pas de nom (comme ci-dessus)
quadrilatere
avec 2 points, un
angle comme 3ème argument et 1 comme 4ème argument.
quadrilatere
avec
2 points, π/2 comme 3ème argument et le rapport de longueur comme 4ème
argument.
zxpnt
avec en argument le vecteur des affixes
des points, ou on écrit un programme dans lequel on utilise la commande
point
avec, pour un n-gone, en 1er argument le vecteur L
“fermé” des n+1 points et se terminant par n+1
(L[0]=L[n], L[n+1]=n+1) et en
2ème argument l'entier binaire #0
.Commandes
pour cela. Si on souhaite
tracer plusieurs polygones ayant un nombre fixé de coté, on peut aussi
définir depuis l'historique
une fonction pentagone
de la manière suivante :
<< -> A B C D E << A B C D E A 6 ->ARRY #0 point >> >> 'pentagone' STO>
<< -> A B C D E << point([A,B,C,D,E,A],#0) >> >> STO> 'pentagone'
pentagone
depuis le menu Ajouter
,
sous-menu Commandes
de la même manière qu'on utilise triangle
ou quadrilatere
mais en lui passant 5 arguments.
translation
:
translation selon un segment ou un
vecteur donné par son affixe (1er argument)
d'un objet géométrique (2ème argument)
symetrie
:
symétrie centrale si le 1er argument
est un point, symétrie orthogonale par rapport à une droite
si le 1er argument est un segment ou une droite, l'objet
à transformer est le 2ème argument.
rotation
:
rotation déterminée par son centre (1er
argument), l'angle (2ème argument) d'un objet géométrique (3ème
argument)
homothetie
:
homothétie de centre le 1er argument,
de rapport le 2ème argument, l'objet à transformer est le 3ème
argument. Si le rapport est un complexe, on obtient une
similitude.
projection
:
projection sur une droite
(1er argument) du 2ème argument (qui doit être un point).
inversion
:
inversion de centre le 1er argument, de puissance
le 2ème argument et l'objet à transformer est le 3ème argument.
DEFINE(rA(X)=rotation(A,pi/3,X))
rA(B)
pour calculer l'image de B par la rotation rA, cf 10.4.8).abscisse(M)
(déselectionnez le mode alpha en tapant sur la touche alpha,
puis taper F6 pour faire apparaitre le sous-menu Mesures, tapez
alors sur abscisse, puis alpha puis M), puis les coordonnées du point
d'affichage (2,1)
(on peut aussi taper le nom de ce point pour
afficher la légende en ce point),
puis la partie “fixe” de la légende (par exemple "Mx="
).
Si le point M a pour abscisse par exemple −1.21,
on verra à l'écran au point d'affixe (2,1) la légende
"Mx=-1.21"
. Si on déplace M, la légende indiquera
la nouvelle valeur de l'abscisse de M au cours du déplacement.AXL
, puis exécuter l'application
de statistiques.barycentre({A,B,C},1)
barycentre({A,B,C},{1,2,3})
point([A,B,C,D,E,A],#0)
centre(Q)[3]
cercle({A,B,C},0)
cercle({A,B,C},1)
<< >>
,
ce doit être une fonction qui a zéro argument et
renvoie un objet géométrique. Sinon, votre ligne de commande
doit désigner un objet géométrique (en mode RPN, les quotes
sont implicitement rajoutées). Notez qu'en mode RPN
on ne peut pas utiliser de listes ou de vecteurs dans un objet algébrique,
il faut alors traduire la définition de l'objet géométrique
en une fonction délimitée par << >>
.'mediatrice(A,B)'
:label:nom
, par exemple ::c:c
si la légende c
est affichée, ou::c
ou c
si il n'y a pas d'affichage de la légende.
1
puis 0,0
puis :A:A
.
::Q
comme nom au carré
::BC
comme nom de segment
element
puis BC,0.4
(par exemple) et
:E:E
comme nom de point
::AE
::C1
inter(bissectrice(E,A,C),bissectrice(C,B,D))
:O2:O2
O2,distance(O2,BC)
, nom du cercle ::C2
.
rayon(C1)
puis le point d'affichage, par exemple (-1,0.2)
avec partie fixe de label "r1="
rayon(C2)
puis le point d'affichage
par exemple (-1,0.5)
, partie fixe de label "r2="
ordonnee(E)
puis point d'affichage par exemple
(-1,0.8)
, partie fixe du label "y="
centre(C1),O2
,
nom ::O12
.
O12,AE
, nom de point ::T
.
angle(T,E,O2)
, puis le point d'affichage
par exemple (-1,1.1)
, puis la partie fixe de label "t="
.angle(T,E,O2)*180/3.1415926535
{'ordonnee(E)' 'rayon(C2)-rayon(C1)' 'angle(T,E,O2)'}
DATA
pour la variable
où enregistrer. Déplacer ensuite E sur quelques positions.
Quitter ensuite l'environement de géométrie, et copier la variable
AXL(DATA) STO>
ΣDAT
STATS
), sélectionner les colonnes
1 et 2 ou 1 et 3 et testez les régressions linéaires ou cubiques
pour estimer les solutions en y de r1=r2 ou de t=π/2.point(0,0) STO> A
point(1,0) STO> B
point(1,t) STO> E
point(1,1) STO> C
centre(cercle({A,B,E},1)) STO> O1
inter(bissectrice(E,A,C),eqxpnt(Y-X)) STO> O2
affixe(O2)-affixe(O1) STO> O1O2
abscisse(O1O2) STO> E1
ROOT(E1,t,0.6)
PURGE(t)
) avant de continuer.
On peut aussi éditer E1
dans l'éditeur d'équation, en multipliant
à la main par l'expression conjuguée (mettre le terme sans la racine
au carré et le terme en racine au carré).
L'équation obtenue est :
abscisse(O1O2)+t*(ordonnee(O1O2)) STO> E2
ON
et +
ou sur ON
et -
pour régler le contraste.
ON
et F3
simultanément.
Introduisez un trombone dans le petit trou à coté de Reset à
l'arrière de la calculatrice. Vérifiez les piles.
L'appui simultané sur ON
, F1
et F6
permet de réinitaliser complètement la calculatrice.
ON
une ou plusieurs fois. Si cela ne fonctionne
pas, essayez ON
et F3
simultanément (l'historique
sera perdu).
1+2
, on obtient une erreur ou un
résultat incorrectMODE
, F2 (CHOOSE)
,
Algebraic
puis ENTER
.
APPS
).
MODE
, F1 (FLAGS)
, flèche vers le haut,
remonter jusquà 91 et décocher.
Undefined Name
Numeric
est décoché, touche
MODE
puis CAS
.
).MODE
puis CAS
, décochez
Approx
.
Attention, les données déja entrées sont encore en mode
approché, on peut les convertir en mode exact sans les resaisir
avec la commande XQ
.
MODE
, F1 (FLAGS)
, flèche vers le haut,
remonter jusquà 117 et cocher.
ABS(X)
renvoie X
sans hypothèse sur
X
MODE
, F1 (FLAGS)
, flèche vers le haut,
remonter jusquà 119 et décocher.
MODE
, F3 (CAS)
, cochez ou décochez
Step/Step
puis validez.
APPS
, puis
12. Geometry
, puis F6
(Config
), et choisir
Francais
).
Ce document a été traduit de LATEX par HEVEA