Les PC de l’Institut Fourier utilisent le système d’exploitation
Linux1.
Vous pouvez simuler l’environnement Linux sous Windows, en installant
le logiciel libre cygwin
disponible gratuitement sur
www.cygwin.com
.
Si vous n’avez pas de terminal ouvert, il faut utiliser
l’interface graphique pour en lancer un, en cliquant sur une icone
représentant une fenêtre terminal ou en utilisant le menu
System de l’interface ou en cliquant avec le
bouton droit de la souris dans l’arriÃre-plan, puis en
sélectionnant shell
ou
Terminal
si l’option existe, ou Executer une commande
puis tapez konsole
(ou xterm
si konsole
n’est
pas reconnu) puis Entree
.
Attention, les conventions des interfaces graphiques Unix peuvent différer des interfaces que vous connaissez : par exemple, on utilise le click avec le bouton du milieu (ou click simultané sur les boutons droits et gauche) pour insérer le contenu du “presse-papier”. Certains logiciels compatibles Windows acceptent toutefois les raccourcis clavier Ctrl-C (copier), Ctrl-V (coller) et Ctrl-X (effacer et copier).
Les commandes de cette section et de la section suivante sont des commandes Unix, également utilisables sur Mac OS X (depuis l’application Terminal), ou avec Cygwin sous Windows.
Les données accessibles depuis un ordinateur sont placés dans une
arborescence contenant des fichiers ordinaires (qui contiennent des données,
dans l’arborescence ce sont les feuilles de l’arbre) et des répertoires
(qui contiennent des fichiers ou des répertoires, ce sont les noeuds
de l’arbre, là ou plusieurs branches se rencontrent).
La racine de l’arbre est un répertoire, désignée par /
.
La position d’un fichier sur l’arbre se repère
par la suite des noms de répertoires, sous-répertoires,
etc. permettant d’y accéder soit de manière absolue (en partant
de la racine de l’arbre) soit de manière relative à un répertoire
dit répertoire courant. Au login, le répertoire courant est
appelé répertoire d’origine, c’est là que vous pouvez stocker vos
fichiers personnels, en les organisant dans des répertoires.
ls
: afficher la liste des fichiers et des sous répertoires du
répertoire courant. Pour avoir plus de détails, ls -l
.
Pour avoir une liste triée par date, ls -l --sort time
.
Si la liste est longue, appuyez simultanément sur la touche
shift et la toche page précédente, ou faites suivre la commande
par | less
, par exemplels -l --sort time | less
pwd
: afficher le nom du répertoire courant.
cd
: permet de changer de répertoire. cd rep
: pour aller dans le sous répertoire appelé rep
; cd
ou cd ~
: pour aller dans votre répertoire d’origine. cd /usr/local
: pour aller dans le répertoire /usr/local
cd ~dupont
: pour aller dans le répertoire d’origine de
l’utilisateur dupont
.cd ..
: pour aller dans le répertoire parent.
~
: désigne le chemin d’accès à votre répertoire d’origine.~dupont
: désigne le répertoire d’origine de l’utilisateur
dont le nom de login est dupont
mkdir
: Pour créer un sous répertoire, par exemple mkdir rep
crée un sous-répertoire appelé rep
rmdir
: effacer un répertoire vide, par exemple
rmdir rep
.
mount
: affiche les chemins de périphériques amovibles
connectés (cles USB, CD/DVD...)
Exercice:
A l’aide des commandes expliquées ci-dessus:
rmdir
) le répertoire essai.
cp
: Copier un fichier: cp essai.cc test.cc
: crée une copie du fichier
essai.cc
nommée test.cc
(dans le répertoire courant) cp fichier1.cc ..
: copie le fichier1.cc dans le
répertoire parent (situé juste avant le répertoire courant).
mv
: Déplace ou/et renomme un fichier. mv fichier1.cc fichier2.cc
: renomme le fichier fichier1.cc
rep
est un répertoire, mv fichier1.cc rep
déplace
le fichier1.cc dans le sous répertoire rep
.
rm
: effacer un fichier rm fichier.cc
: efface le fichier fichier.cc
. rm -rf rep
: efface le répertoire rep
et tous ses
sous-répertoires. Attention, regardez ce que vous avez tapé avant
de valider, il n’y a pas de commande de récupération.
emacs
ou nedit
: éditer un fichier texte, par exemple emacs fichier.cc &
fichier.cc
(le crée
s’il n’existe pas).
*
désigne n’importe quelle chaine de caractère
dans un nom de fichier, par exemple cp *.tex /usb
.tex
sur la clef USB (après l’avoir
associé au répertoire /usb
par la commande mount /usb
).
?
permet de remplacer n’importe quel caractère dans
un nom de fichier
Remarques:
&
placé à la fin d’une commande
permet de l’exécuter en tâche de fonds (on peut lancer d’autres
commandes pendant que cette commande s’exécute).
man
, par exemple, taper dans une fenetre de commande: man ls
ls
.
Exercice:
Créez un fichier appelé essai
contenant quelques lignes.
Déconnectez-vous et laissez votre binome se connecter. Recopiez le
fichier essai
de votre binome dans votre répertoire. Renommez-le
essai.de.mon.binome
. Recopiez le
fichier essai
sur une disquette.
LATEX est le format standard utilisé dans le monde de l’édition mathématique. Un document au format LATEX est un texte (au format ASCII) contenant des commandes de formatage. Ces commandes servent à structurer le texte (chapitres, sections, etc.) en laissant au compilateur le soin de rendre cette structure au mieux en fonction du format de sortie (texte imprimé, fichier PDF, sortie HTML pour mettre sur un site Web). Elles gèrent aussi l’affichage des symboles mathématiques, la numérotation des chapitres (chapter), sections, sous-sections (section, subsection), les réfèrences (on place un repère nom avec label puis on se réfère à nom avec ref ou pageref)
\label{toto} puis \ref{toto} ou \pageref{toto}
ou permettent de créer automatiquement la table des matières (\ -.05truein tableofcontents). Une fois saisi, le texte source LATEX doit être compilé (parfois deux fois de suite pour mettre à jour les références et la table des matières). Le compilateur ne tient pas compte de la mise en page du texte source, le nombre d’espace entre deux mots est ignoré de même que le passage à la ligne. Seuls les sauts de lignes sont interprétés comme signalant un début de paragraphe.
La syntaxe d’une commande de formatage LATEX est :
\command[option]{argument}
Il existe dix caractères réservés qui ne sont donc pas imprimés
tels quels :
$ & % # _ { } \
Pour les imprimer, il faut taper :
\$ \& \% \# \_ \{ \} \circonflexe \tild \symbol{92}
Le passage à la ligne (changement de paragraphe) se fait en insérant une ligne vide, la ligne suivante est alors indentée2
Un espace est crée avec \ -.07truein ⊔.
Pour éditer votre texte en LATEX, vous devez utiliser un éditeur comme pour taper le code source d’un programme. Nous décrivons ici deux éditeurs:
Recherchez Texmaker dans les programmes (pour l’installer cf.
www.xm1math.net/texmaker/index_fr.html
)
ou ouvrez un terminal
(menu Accessoires) et tapez la commande
texmaker &
(Si vous avez oublié le &, tapez Ctrl-Z puis bg).
Cliquez sur Nouveau puis sur Assistant dans la barre d’icones, sélectionnez utf8x au lieu de latin1
comme encodage. Ajouter ensuite la partie du texte ci-dessous entre
\begin{document}
et \end{document}
.
Téléchargez le document
www-fourier.ujf-grenoble.fr/~parisse/info/essai.tex
Puis éditez-le, avec Emacs :
emacs essai.tex &
(Si vous avez oublié le &, tapez Ctrl-Z puis bg).
Vous pouvez aussi créer un nouveau document à
partir d’un fichier vide et taper les lignes suivantes
(sans les commentaires qui commencent par %).
\documentclass[a4paper,11pt]{article} % 11 ou 12pt, article ou report ou book \usepackage[utf8]{inputenc} % caractères accentués en UTF8 \usepackage[T1]{fontenc} % idem \usepackage[francais]{babel} % français (chapter -> chapitre...) \usepackage{graphicx} % graphiques \usepackage{amsmath,amsfonts,amssymb} % symboles AMS \newcommand{\N}{{\mathbb{N}}} % définit la commande \N \title{Un essai\\Stage latex M1} % définit le titre (ici sur 2 lignes) \author{Mon Nom} % indiquez votre nom \begin{document} % début du document \maketitle % écrit le titre (cf. \title et \author) \section{Calcul de $ A^P \pmod{N}$} % un paragraphe Soit $A \in \N$ un entier, ... % on utilise la commande \N \subsection{Traduction Algorithmique} % un sous paragraphe \label{sec:tradu} % définit un label L'algorithme de la puissance rapide se compose de plusieurs parties \begin{enumerate} \item On commence par ... \item Ensuite ... \end{enumerate} \subsection{Le programme en $C^{++}$} % un autre sous paragraphe On a vu (section \ref{sec:tradu}) ... % une référence au label \newpage % nouvelle page \tableofcontents % table des matières \end{document} % fin du document
Pour traduire les différentes commandes de votre texte, il faut le compiler.
Vous devez d’abord sauver votre texte, à la souris, icone disquette ou menu Fichier -> Enregistrer ou au clavier Ctrl-S. Cliquez ensuite sur l’icone à gauche de Compilation rapide dans la barre d’icones (vous pouvez sélectionner un autre format de rendu: par exemple le format Latex et le rendu DVI, ce dernier se met à jour automatiquement). S’il y a des erreurs, elles apparaissent numérotées en-dessous, en cliquant sur le numéro, on positionne le curseur dans le texte source à l’endroit de l’erreur.
Vous devez d’abord sauver votre texte, à la souris, icone disquette
ou menu Files -> Save current buffer ou au clavier en tapant
(Ctrl-X Ctrl-S sous emacs).
Puis compilez en tapant
dans la fenêtre de commandes (Konsole ou xterm) :
latex essai
Vous pouvez aussi utiliser le menu Tex-> Tex file.
La compilation se fait avec traduction en un fichier essai.dvi ou,
avec un arrêt à la première erreur rencontrée.
Lorsque une erreur est détectée, un message apparait indiquant, la
nature de l’erreur et la ligne où elle se situe. Tapez sur la touche
Entree
pour continuer ou tapez x
puis Entree
pour interrompre la compilation. Corrigez votre erreur dans la fenêtre
emacs
et recompilez. Si vous avez compilé avec le menu
Tex->Tex file, consultez le fichier essai.log pour
déterminer les erreurs à corriger.
Pour visualiser votre texte avant l’impression, utilisez
le menu Tex->Tex view ou tapez dans la fenêtre
de commandes :
xdvi essai &
Si la page de visualisation n’est pas mise à jour lorsque
vous compilez à nouveau, vous devez quitter xdvi
en tapant
sur la touche q
et le relancer comme ci-dessus.
Pour imprimer (attention ne le faites pas maintenant!),
vous cliquerez dans TexMaker sur l’icone d’imprimante
ou vous taperez dans le fenêtre de commandes :
dvips essai
Si vous utilisez la commande pdflatex à la place de la commande latex, le compilateur génére un fichier .pdf au format PDF (que l’on peut lire avec Acrobrat Reader ou sous Unix avec gv). On peut aussi convertir un fichier DVI en fichier PDF par la commande dvipdf.
Pour obtenir une sortie HTML, utilisez la commande hevea ou latex2html (disponible sur certains systèmes seulement).
Dans TexMaker, les commandes correspondantes se trouvent dans le menu LaTeX.
C’est une partie du document délimitée par:
\begin{type d'environnement}...\end{type d'environnement}
Voici quelques environnements souvent utilisés :
\begin{verbatim}
... \end{verbatim}
:
pas d’interprétation des commandes,
le texte est mis en style \ -.05truein texttt
(contrairement à {\ -.05truein tt...} qui met en style
\ -.05truein texttt mais interpréte...)
\begin{itemize}
... \end{itemize}
ou
\begin{enumerate}
... \end{enumerate}
:
permet d’énumerer une liste ; chaque élement de la liste doit commencer par
\ -.05truein item\begin{center}
... \end{center}
permet de centrer
un texte
\begin{tabular}{|l|c|r|r|}
... \end{tabular}
:
crée un tableau. Le nombre d’arguments (ici 4) indique le nombre de
colonnes. Ces arguments définissent l’alignement
l (left),c (center), r (right). On tape les lignes du
tableau en séparant les colonnes par &. Chaque ligne est terminée par
la commande \ -.07truein\ . Si on écrit la commande
\ -.05truein hline après une fin de ligne, cela affichera un
trait de séparation horizontal, Pour les traits de séparation
verticaux, utiliser | dans l’argument.
{\em ... }
, en gras {\bf ...}
.
Dans TexMaker, les commandes correspondantes se trouvent dans le menu Maths.
Dans le corps d’un texte, les formules mathématiques sont délimitées par un dollar, alors que les formules devant apparaître sur une ligne séparée sont délimitées par deux dollars. On tape par exemple :
Considérons les équations $x+y=0$ et $x-y=2$.
et on obtient :
Considérons les équations x+y=0 et x−y=2
alors que si on tape :
Considérons les équations \[x+y=0 \ \mbox{et} \ x-y=2\]
on obtient (la commande \ -.05truein mbox permet d’écrire du texte dans une formule) :
Considérons les équations
x+y=0 et x−y=2 |
On peut aussi obtenir une équation numérotée avec l’environnement
equation
:
\begin{equation} \label{eq:def_x} x = \sqrt{y+z} \end{equation}
ce qui donne :
x = | √ |
| (1) |
Une fraction s’obtient avec la commande \ -.05truein frac (\ -.05truein overline surligne)
\[\frac{x}{2y}=0.4\overline{230769}\]
donne :
| =0.4 |
|
Les indices s’obtiennent avec le caractère _ , les exposants avec le caractère et les flèches de vecteurs avec la commande \ -.05truein overrightarrow
Exemple :
\[x_1={(a^2+b^2)}^\frac{ 1 }{2}\] \[\overrightarrow{OA_{1,i}}=x^{2t}\cdot \overrightarrow{OB_i}\]
donne :
x1=(a2+b2) |
|
| =x2t· |
|
Une racine s’obtient avec la commande : \ -.1truein sqrt
\[\sqrt{x^2+1}\] \[\sqrt[3]{x^2+1}\]
donne :
√ |
|
∛ |
|
Une limite s’obtient avec la commande : \ -.05truein lim { ...}
Pour écrire les fonctions mathématiques on les fait précéder de \ . On tape :
\[\lim_{x \rightarrow +\infty} \ln (x) = +\infty\]
pour obtenir :
| ln(x) = +∞ |
\[\left(\begin{array}{ccc} 2 & 3 & 4\\ x & x^2 & x^3\\ 5 & 6 & 7 \end{array}\right)\]
donne
⎛ ⎜ ⎜ ⎝ |
| ⎞ ⎟ ⎟ ⎠ |
\[\int_a^b f(t) \; dt\]
donne
∫ |
| f(t) dt |
$\sum_{i=0}^{+\infty} \frac{1}{i^2}$ et \[\sum_{i=0}^{+\infty} \frac{1}{i^2}\]
donne : ∑i=0+∞ 1/i2 et
|
|
On utilise la commande \ -.05truein prime ou ’
\[ f'(x)=(\exp(2x))^\prime=2\exp(2x)\]
donne
f′(x)=(exp(2x))′=2exp(2x) |
Pour la dérivée seconde, utiliser f'{'}
.
Pour les derivées partielles on utilise \ -.05truein partial :
\[ \frac{\partial f(x,y)}{\partial x}=2\exp(2x)\]
donne
| =2exp(2x) |
On crée explicitement une référence avec la commande \label{}
et
un nom de label entre les accolades. La référence correspond au numéro de
section, sauf si on se trouve dans une environnement d’équation numérotée.
On y fait ensuite référence avec
la commande \ref{}
(et \pageref{}
pour indiquer la page).
Certaines commandes, comme \tableofcontents
utilisent des références
crées implicitement (numéro de section).
Les citations d’oeuvre sont en général gérées par un programme externe, bibtex
à partir d’un fichier de base de données bibliographiques. On utilise les commandes
\cite{}
pour citer une oeuvre, avec en paramètre la référence de l’oeuvre
\bibliiography{}
pour indiquer le nom de fichier de la base de données
bibliographique,
\bibliographystyle{abbrv}
pour spécifier un style d’affichage des citations
(ici abbrv
pour abrégé),
Exemple, on crée un fichier mabiblio.bib
contenant
@ book {Leborgne, AUTHOR="D. Leborgne", TITLE="{Calcul diff\'erentiel et g\'eom\'etrie}", PUBLISHER="PUF", YEAR="1982" }
puis on ajoute dans le source latex une fois \bibliiography{mabiblio.bib}
et \bibliographystyle{abbrv}
, et \cite{Leborgne}
autant de fois que
nécessaire.
On peut insérer une image au format EPS (encapsulated postscript) dans un source LATEX de la manière suivante :
\includegraphics[width=\textwidth]{image}
où image désigne le nom du fichier image.eps
.
On peut aussi indiquer
une largeur en centimètres après width=
.
La commande Unix convert permet de convertir une image
d’un autre format vers le format Encapsulated Postscript,
par exemple
convert image.png image.eps
Il faut avoir déclaré en tête (avant \begin{document}
)
du fichier source :
\usepackage{graphicx}
Pour créer des transparents, on utilise fréquemment la classe de document beamer
.
Cf. par exemple le tutoriel sur
http://www.tuteurs.ens.fr/logiciels/latex/beamer.html
.
pgiac est un programme qui permet de faire calculer
automatiquement par Giac/Xcas (un logiciel de calcul formel)
certaines expressions d’un fichier source au format LATEX.
Voir le site de J.Michel Sarlat pour des exemples
http://melusine.eu.org/syracuse/giac/
texmacs est un programme permettant de saisir des documents
mathématiques avec une interface similaire à celle
des logiciels de traitement de texte usuels tout en conservant
une qualité typographique comparable à LATEX.
Il permet d’importer et d’exporter au format LATEX.
Il possède également une interface pour lancer certains
logiciel de calcul (Menu Inserer, sous-menu session).
Pour lancer texmacs sous Unix, tapez la commande :
texmacs &
Pour ouvrir texmacs avec une session de calcul
Giac/Xcas, taper :
xgiac &
http://fr.wikibooks.org/wiki/Programmation_LaTeX
http://tex.loria.fr/index.html
http://fr.groups.yahoo.com/group/AmiTeX/
α | \alpha | θ | \theta | o | o | τ | \tau |
β | \beta | ϑ | \vartheta | π | \pi | υ | \upsilon |
γ | \gamma | γ | \gamma | ϖ | \varpi | φ | \phi |
δ | \delta | κ | \kappa | ρ | \rho | ϕ | \varphi |
є | \epsilon | λ | \lambda | ϱ | \varrho | χ | \chi |
ε | \varepsilon | µ | \mu | σ | \sigma | ψ | \psi |
ζ | \zeta | ν | \nu | ς | \varsigma | ω | \omega |
η | \eta | ξ | \xi | ||||
Γ | \Gamma | Λ | \Lambda | Σ | \Sigma | Ψ | \Psi |
Δ | \Delta | Ξ | \Xi | Υ | \Upsilon | Ω | \Omega |
Θ | \Theta | Π | \Pi | Φ | \Phi |
Greek Letters
± | \pm | ∩ | \cap | ⋄ | \diamond | ⊕ | \oplus |
∓ | \mp | ∪ | \cup | △ | \bigtriangleup | ⊖ | \ominus |
× | \times | ⊎ | \uplus | ▽ | \bigtriangledown | ⊗ | \otimes |
÷ | \div | ⊓ | \sqcap | ◁ | \triangleleft | ⊘ | \oslash |
∗ | \ast | ⊔ | \sqcup | ▷ | \triangleright | ⊙ | \odot |
⋆ | \star | ∨ | \vee | ◁ | \lhdb | ◯ | \bigcirc |
∘ | \circ | ∧ | \wedge | ▷ | \rhdb | † | \dagger |
• | \bullet | ∖ | \setminus | ⊴ | \unlhdb | ‡ | \ddagger |
· | \cdot | ≀ | \wr | ⊵ | \unrhdb | ⨿ | \amalg |
+ | + | − | - |
b Not predefined in a format based on basefont.tex.
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Binary Operation Symbols
≤ | \leq | ≥ | \geq | ≡ | \equiv | ⊨ | \models |
≺ | \prec | ≻ | \succ | ∼ | \sim | ⊥ | \perp |
≼ | \preceq | ≽ | \succeq | ≃ | \simeq | ∣ | \mid |
≪ | \ll | ≫ | \gg | ≍ | \asymp | ∥ | \parallel |
⊂ | \subset | ⊃ | \supset | ≈ | \approx | ⋈ | \bowtie |
⊆ | \subseteq | ⊇ | \supseteq | ≅ | \cong | ⑅ | \Joinb |
⊏ | \sqsubsetb | ⊐ | \sqsupsetb | ≠ | \neq | ‿ | \smile |
⊑ | \sqsubseteq | ⊒ | \sqsupseteq | ≐ | \doteq | ⁀ | \frown |
∈ | \in | ∋ | \ni | ∝ | \propto | = | = |
⊢ | \vdash | ⊣ | \dashv | < | < | > | > |
: | : |
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Relation Symbols
, | , | ; | ; | ∶ | \colon | . | \ldotp | · | \cdotp |
Punctuation Symbols
← | \leftarrow | ←— | \longleftarrow | ↑ | \uparrow |
⇐ | \Leftarrow | ⇐= | \Longleftarrow | ⇑ | \Uparrow |
→ | \rightarrow | —→ | \longrightarrow | ↓ | \downarrow |
⇒ | \Rightarrow | =⇒ | \Longrightarrow | ⇓ | \Downarrow |
↔ | \leftrightarrow | ←→ | \longleftrightarrow | ↕ | \updownarrow |
⇔ | \Leftrightarrow | ⇐⇒ | \Longleftrightarrow | ⇕ | \Updownarrow |
↦ | \mapsto | ⊢→ | \longmapsto | ↗ | \nearrow |
↩ | \hookleftarrow | ↪ | \hookrightarrow | ↘ | \searrow |
↼ | \leftharpoonup | ⇀ | \rightharpoonup | ↙ | \swarrow |
↽ | \leftharpoondown | ⇁ | \rightharpoondown | ↖ | \nwarrow |
⇌ | \rightleftharpoons | ↝ | \leadstob |
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Arrow Symbols
… | \ldots | ⋯ | \cdots | ⋮ | \vdots | ⋱ | \ddots |
ℵ | \aleph | ′ | \prime | ∀ | \forall | ∞ | \infty |
ℏ | \hbar | ∅ | \emptyset | ∃ | \exists | □ | \Boxb |
i | \imath | ∇ | \nabla | ¬ | \neg | ◇ | \Diamondb |
j | \jmath | √ | \surd | ♭ | \flat | △ | \triangle |
ℓ | \ell | ⊤ | \top | ♮ | \natural | ♣ | \clubsuit |
℘ | \wp | ⊥ | \bot | ♯ | \sharp | ♦ | \diamondsuit |
ℜ | \Re | || | \| | \ | \backslash | ♥ | \heartsuit |
ℑ | \Im | ∠ | \angle | ∂ | \partial | ♠ | \spadesuit |
℧ | \mhob | . | . | | | | |
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Miscellaneous Symbols
∑ | \sum | ∩ | \bigcap | ⊙ | \bigodot |
∏ | \prod | ∪ | \bigcup | ⊗ | \bigotimes |
∐ | \coprod | ⊔ | \bigsqcup | ⊕ | \bigoplus |
∫ | \int | ∨ | \bigvee | ⊎ | \biguplus |
∮ | \oint | ∧ | \bigwedge |
Variable-sized Symbols
\arccos | \cos | \csc | \exp | \ker | \limsup | \min | \sinh |
\arcsin | \cosh | \deg | \gcd | \lg | \ln | \Pr | \sup |
\arctan | \cot | \det | \hom | \lim | \log | \sec | \tan |
\arg | \coth | \dim | \inf | \liminf | \max | \sin | \tanh |
Log-like Symbols
( | ( | ) | ) | ↑ | \uparrow | ⇑ | \Uparrow |
[ | [ | ] | ] | ↓ | \downarrow | ⇓ | \Downarrow |
{ | \{ | } | \} | ↕ | \updownarrow | ⇕ | \Updownarrow |
⌊ | \lfloor | ⌋ | \rfloor | ⌈ | \lceil | ⌉ | \rceil |
⟨ | \langle | ⟩ | \rangle | / | / | \ | \backslash |
| | | | || | \| |
Delimiters
⎱ | \rmoustache | ⎰ | \lmoustache | ) | \rgroup | ( | \lgroup |
| | \arrowvert | ∥ | \Arrowvert | | | \bracevert |
Large Delimiters
â | \hata\string | á | \acutea\string | ā | \bara\string | ȧ | \dota\string | ă | \brevea\string |
ǎ | \checka\string | à | \gravea\string | a→ | \veca\string | a | \ddota\string | ã | \tildea\string |
Math mode accents
abc | \widetildeabc\string | abc | \widehatabc\string |
abc | \overleftarrowabc\string | abc | \overrightarrowabc\string |
abc | \overlineabc\string | abc | \underlineabc\string |
abc | \overbraceabc\string | abc | \underbraceabc\string |
√abc | \sqrtabc\string | (abc)1/n | \sqrt[n]{abc} |
f′ | f' | abc/xyz | \frac{abc}{xyz} |
Some other constructions
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