Voir aussi : 11.4.1 point en géométrie 3-d.
Pour obtenir un point il suffit d’être en mode point et de cliquer avec
la souris (bouton gauche) pour qu’un point s’affiche avec un nom.
Ce nom est crée automatiquement : A puis B etc...
On peut aussi utiliser la commande point :
point a comme argument un nombre complexe ou un couple de 2
nombres réels représentant ses coordonnées rectangulaires (pour définir
un point par ses coordonnées polaires il faut utiliser polar_point ou
point_polaire.
Attention
Si a,b est un couple de 2 nombres complexes dont 1 n’est pas réel,
K:=point(a,b) renvoie 2 points de même nom (ici K) l’un d’affixe
a, l’autre d’affixe b.
Lorsque a,b est un couple de 2 nombres réels, A:=point(a,b)
renvoie et dessine le point ayant pour affixe a+ib.
point renvoie et dessine le point ayant pour
affixe son argument. Ce point aura la forme choisie par la commande
affichage : par défaut il aura la forme d’une croix et il aura la forme
d’un point si on a tapé affichage(point_point).
On tape :
Ou on tape :
Ou on tape :
On obtient :
On tape :
Ou on tape :
Ou on tape :
On obtient :
Attention
On tape :
Ou on tape :
On obtient :
Remarque
Lorqu’on fait une affectation par exemple A:=point(-2+i) cela a pour
effet de stocker le point(-2+i) dans la variable A, d’ouvrir un
écran graphique si on n’est pas dans un niveau de géométrie et de dessiner
le point avec une croix et de lui mettre comme légende le nom qui est situé
à gauche de := ici A.
Si on fait plusieurs affectations avec un seul signe := par exemple :
A,B:=point(-2+i),point(2+i) la variable A contient le
point(-2+i), la variable B contient point(-2+i) mais
les deux points auront le même nom : A,B et on ne pourra pas deplacer
ces points en mode pointeur. Pour éviter cela on doit
taper sur des niveaux séparés :
L:=point(-2+i),point(2+i):;A:=L[0];B:=L[1]
Autre exemple
LL:=point(-2,i):;C:=LL[0];D:=LL[1] définit le point C
d’affixe -2 et le point D d’affixe i (car l’affixe de D n’est pas
réel !).